5 trucs pour aider son enfant à passer de 5 à 15 en mathématiques
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mercredi 7 juin 2017

Brevet : dix commandements pour être prêt le jour J

                                                                                      Article paru en 2016 dans l'étudiant

Bientôt le coup d'envoi du brevet ! Vous avez beau vous répéter que ce n’est qu’une formalité, il n’empêche : vous ne vous sentez pas encore tout-à-fait prêt. Nos conseils de dernière minute pour aborder les épreuves en toute sérénité

mardi 6 juin 2017


 Astuces pour motiver mon enfant :


 
Lors de mes conférences la question qui revient le plus est : comment motiver mon enfant ?
Hélas, il n’existe pas de recette miracle. Mais, il existe une constante. Tout individu quel qu’il soit, quel que soit son âge, son sexe, son milieu social est motivé par un domaine lorsque celui-ci lui rapporte plus qu’il ne lui coûte. 
Nous devons considérer que notre enfant a besoin d’énergie pour être motivé. Et l’énergie des enfants, est la différence entre ses doutes et sa confiance en lui. C’est d’ailleurs, pour cela que les enfants les moins motivés à l’école sont essentiellement ceux qui sont en difficulté.
Si vous souhaitez développer la motivation de votre enfant voici trois petits trucs, très faciles à mettre en œuvre et hyper-efficaces.

mercredi 31 mai 2017

mardi 23 mai 2017

Et si nos enfants prenaient la scolarité comme une grande épreuve sportive.


 
Beaucoup de nos jeunes comprennent parfaitement la notion de l’effort.
D’ailleurs, ils le démontrent régulièrement dans  leur sport favori avec ses entraînements physiquement parfois difficiles.

Pour autant, ils n’ont pas la même notion de l’école.

Pourquoi ? La réponse est complexe et très certainement multifactorielle.

vendredi 19 mai 2017

Qu’est réellement la motivation ?

Pour moi, la motivation pourrait être qualifiée d’une sorte de mouvement, dont la finalité serait l’atteinte d’un objectif. En matière scolaire, le but à atteindre est l’acquisition de connaissances. Qui va inévitablement se traduire par une note à court terme ou un diplôme à plus long terme. Or, la vraie question est quel est le moteur de ce mouvement. En fait, il en existe deux très différents voir opposés.

D’un côté nous trouvons ce que j’appelle la motivation positive. Qui pourrait se caractériser par l’envie d’aller vers quelques choses, d’avoir du plaisir à faire, à réaliser.
Et par opposition, la motivation négative où le mouvement est provoqué par une fuite.

Pour expliquer le propos prenons deux exemples :

  L’un de ceux qui illustre le mieux la motivation positive est le jeune enfant et le dessin. Lorsqu’un enfant commence à dessiner, vous ne mettez aucune pression, aucune exigence et vous valorisez, au-delà du raisonnable, ses différentes œuvres. Et remarquez, comme l’enfant se met avec bonheur devant sa feuille de papier. Il ne connait aucune contrainte et un maximum de reconnaissance. De fait, il découvre les plaisirs du dessin.

 D’un autre côté, imaginons un enfant dont les parents mettent une pression énorme sur l’école. Poussons le raisonnement jusqu’au bout (et cela arrive parfois), dont le père promet sanctions et brimades en cas de résultats moyens. Cet élève ne va pas se « mettre en mouvement » par plaisir, mais pour fuir les sévices.

 
Nous voyons dans les deux cas le même mouvement s’amorcer vers un objectif.
Pour autant, ne nous leurrons pas la motivation négative ne tient jamais à long terme.

 

 

mercredi 17 mai 2017


Comment motiver votre enfant sans le stresser

 

Dans ses apprentissages du quotidien, dans sa scolarité et ses loisirs, un enfant a besoin d’être motivé… sans que les encouragements ne se transforment en stress. Trois experts nous donnent leurs conseils.

Encourager et responsabiliser son enfant sans le surprotéger ou, au contraire, le réprimander à la moindre erreur ou mauvaise note : la bonne attitude n'est pas facile à trouver. Voici comment y parvenir
 

mardi 9 mai 2017


Matheux ou littéraire ?


 
Depuis des décennies, dans l’ensemble des familles, quelque-soit le niveau social ou culturel, nous entendons parler de l’opposition entre les matheux et les littéraires. S’en suis l’étiquetage des nouvelles générations, soit dans un camp, soit dans l’autre. Et cette catégorisation arrive parfois dès le plus jeune âge. J’ai rencontré, lors de mes formations, une maman qui avait décrété alors que sa fille était encore en maternelle, qu’elle n’était pas une matheuse, sous prétexte que son grand-frère au même âge allait beaucoup plus vite pour mettre le carré, le triangle ou l’étoile dans le cube d’éveil. Voilà, la messe était dites avant même que l’apprentissage de la matière ne débute.
Mais, hélas ce n’est pas le seul cas. Une autre fois, c’est un papa, ingénieur en hydraulique, lui-même fils d’un ingénieur en mécanique, qui avait remarqué, de façon très pertinente, que son fils était forcément un matheux puisqu’il aimait venir avec son père faire des sudoku. Il ne c’était même pas posé la question, si le plaisir de son fils n’était pas plutôt d’être avec son papa. Si ce dernier avait fait des mots croisés, peut-être que le petit dernier aurait eu droit au sobriquet de littéraire.
Bien sûr ces deux cas sont extrêmes, mais il n’en reste pas moins qu’une grande majorité des parents pensent, sincèrement, que leurs enfants sont, plus ou moins, des littéraires ou des matheux. Et cela peut avoir des conséquences à très long termes.